Le secteur du bâtiment en France affiche un sérieux retard dans sa transition énergétique, avec seulement 200 000 chaudières fossiles remplacées en 2024. L'objectif annuel sur la période 2022-2030 est de 500 000 chaudières par an, ce qui est loin d’être atteint.

Le décret publié le 20 mars 2025 permet désormais de cumuler MaPrimeRénov' avec le prêt à taux zéro (PTZ) pour réduire considérablement le reste à charge des propriétaires engageant des travaux de rénovation. 

L'Alliance HQE-GBC lance l’Observatoire de la transition écologique du bâtiment, avec le soutien du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) et de l'ADEME, pour mesurer les avancées environnementales de la filière construction et centraliser les données du secteur.

La demande d'électricité pour les centres de données devrait plus que doubler d'ici 2030 selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).

L'étude de l'APC (Agence Parisienne du Climat) confirme : les rénovations énergétiques à Paris génèrent jusqu'à 24 % d'économies. Un investissement rentable pour le climat et pour les copropriétés ayant réalisé des travaux de rénovation énergétique !

Depuis juillet 2024, de nouvelles mesures ont été prises en ce qui concerne les propriétaires souhaitant bénéficier de l’éco prêt à taux zéro (éco-PTZ). Comment se concrétisent-elles en 2025 ? On vous explique !

L'EPR de Flamanville reste à l'arrêt pour la quatrième fois consécutive, avec un redémarrage désormais prévu pour le 11 avril 2025 au lieu du 30 mars initialement annoncé. Ce report est engendré par une nouvelle opération de maintenance, explique EDF.

Plusieurs facteurs récents ont causé une baisse des prix du gaz en Europe, et notamment les droits de douane inédits décidés par le président américain Donald Trump. Le ralentissement économique causé par ces annonces et la réorientation des exportations américaines de la Chine vers les marchés européens ont fait chuter les prix, avec un impact positif pour les consommateurs français.

Le 3 avril 2025, la cour administrative d’appel de Nancy a prononcé l'abandon du parc de 63 éoliennes terrestres porté par EDF Renouvelables et Renner Énergies. Il devait prendre place sur le site du Mont des Quatre Faux dans les Ardennes.