L'Union européenne a approuvé, lundi 20 octobre 2025, l'interdiction des importations de gaz russe d’ici à fin 2027, malgré l'opposition hongroise. Cette mesure vise à couper 15 milliards d'euros de revenus à Moscou pour assécher le financement de la guerre en Ukraine.

Xavier Piechaczyk, le patron de RTE (Réseau de Transport de l’Électricité) identifie les freins à l'électrification française et dévoile ses solutions pour accélérer l'évolution des usages et optimiser le raccordement des énergies renouvelables.

Le 13 octobre dernier, EDF a revu ses prévisions 2025 de production d'électricité à la hausse pour répondre aux besoins énergétiques croissants. L'entreprise table désormais sur une production nucléaire comprise entre 365 et 375 térawattheures (TWh), contre 350 à 370 TWh initialement prévus. 

Le 1ᵉʳ avril 2025 à 13h, la France a frôlé la coupure électrique généralisée. En quelques minutes, 9 gigawatts de production verte ont été débranchés du réseau français, soit l'équivalent de neuf réacteurs nucléaires déconnectés simultanément. 

Le Haut Conseil pour le climat (HCC) a publié le 16 octobre 2025 son rapport annuel grand public, alertant sur l'urgence de la décarbonation du secteur du bâtiment. Alors que le seuil de réchauffement de +1,5 °C a été dépassé pour la première fois en 2024 à l'échelle mondiale, la France pourrait atteindre +4 °C en 2100 sans changement.

L'EPR (Réacteur Pressurisé Européen) de Flamanville a redémarré dans la nuit du 15 au 16 octobre 2025, après quatre mois d'arrêt technique.

Le projet de loi de finances pour 2026 prévoit une baisse de 500 millions d'euros de la dotation de l'Anah (Agence nationale de l’habitat), qui passera de 2 milliards à 1,5 milliard d'euros.

Depuis le 15 octobre 2025, les foyers qui n'ont pas été identifiés automatiquement comme bénéficiaires du chèque énergie peuvent déposer une demande sur un portail dédié ou par courrier. Cette démarche est possible jusqu'au 28 février 2026.

Le géant français de l’électricité, EDF, revoit à la baisse ses prévisions nucléaires. En effet, l’énergéticien mise sur 358 TWh en 2029-2031, contre 400 TWh initialement promis pour 2030, en raison notamment des difficultés avec l’intégration du renouvelable dans le mix énergétique.

Un rapport parlementaire propose d'expérimenter une tarification progressive de l'électricité pour favoriser la sobriété énergétique. Cela signe un prix du kWh d’électricité bas si vous consommez peu, qui augmente en fonction du niveau de consommation.