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Marie-Claire Dodin

Rédactrice experte rénovation énergétique

À propos de Marie-Claire

Après l’obtention d’un Master en droit de l’urbanisme et de la construction, Marie-Claire participe au développement de programmes immobiliers chez différents bailleurs sociaux.

Ces expériences la sensibilisent fortement aux enjeux de la rénovation énergétique et au poids des dépenses énergétiques dans le budget des ménages.

Elle intègre Hello Watt en 2024, désireuse d’orienter sa carrière vers la rédaction web SEO et ravie de pouvoir accompagner les consommateurs dans leur démarche de transition énergétique.

Son objectif ? Vous aider à consommer plus responsable tout en réduisant le montant de vos factures !

Domaines d’expertise :

Rénovation énergétique
Aides à la rénovation
Isolation
Pompe à chaleur

Les plus consultés

ISOLATION-MURS

Isolation intérieure ou extérieure : comment choisir ?

L’isolation des murs permet de faire des économies d’énergie et d’améliorer le confort de son logement. Mais comment choisir entre isolation par l’intérieur ou par l’extérieur ? Différences, avantages, inconvénients, prix, aides, Hello Watt fait le point ! En résumé L’isolation par l’extérieur (ITE) consiste à envelopper la façade d’un logement sous une couche d’isolant, tandis qu’en isolation par l’intérieur (ITI), l’isolant est placé sur la face intérieure du mur à isoler. L’isolation extérieure offre de meilleures performances thermiques et permet de ravaler et de valoriser son bien en conservant la surface habitable. Elle est cependant plus coûteuse que l’ITI et nécessite d’obtenir une autorisation administrative. L’isolation intérieure demande un chantier de moindre envergure et permet de rénover l’intérieur de son logement. Elle implique cependant de vider son logement durant le chantier et entraîne une perte de surface habitable pouvant atteindre 10 %. Il faut compter 150 à 200 €/m² pour une isolation des murs par l’intérieur contre 150 à 300 € pour une isolation des murs par l’extérieur.

Marie-Claire Dodin, 17 septembre 2024

INSTALLATION-POMPE-CHALEUR

Quel fabricant de pompes à chaleur choisir ?

Vous êtes à la recherche d’une pompe à chaleur (PAC), mais ne savez pas vers quelle marque vous tourner ? Découvrez notre comparatif des différents fabricants de pompes à chaleur et tous nos conseils pour faciliter votre choix ! En résumé Tous les fabricants ne proposent pas les mêmes types de pompes à chaleur : PAC aérothermiques, géothermiques, hydrothermiques ou climatisations réversibles. Choisir une pompe à chaleur de fabrication française (Atlantic, Thermor, Saunier Duval, Frisquet, De Dietrich…) ou européenne (Daikin, Hitachi, Viessmann…) permet de réduire son impact environnemental et peut faciliter le SAV. Le type de PAC, le lieu de fabrication, le prix, ainsi que l’efficacité du SAV sont des critères qui peuvent vous aider à choisir la meilleure marque de pompe à chaleur pour votre projet.

Marie-Claire Dodin, 26 septembre 2024

INSTALLATION-POMPE-CHALEUR

Pompe à chaleur air-eau : quelle puissance pour un logement de 150 m² ?

Vous souhaitez installer une pompe à chaleur air-eau dans votre logement de 150 m² ? Attention à faire le bon choix de puissance ! En cas de mauvais dimensionnement, vous risquez de voir le montant de votre facture d’énergie grimper en flèche, le tout pour un confort thermique plutôt médiocre. Alors, quelle puissance de pompe à chaleur air-eau choisir pour 150 m² ? Hello Watt fait le point ! En résumé La puissance d’une pompe à chaleur correspond à sa capacité à chauffer et s’exprime en kW. Sa valeur dépend du volume à chauffer, de la localisation du logement et de l’état de l’isolation thermique. Pour une maison de 150 m², on préconise une pompe à chaleur dotée d’une puissance de 10 kW en moyenne. Mais en réalité, cette valeur peut fortement varier en fonction de la hauteur sous plafond, de la localisation du bien et de l’importance des déperditions thermiques. Un mauvais dimensionnement de la pompe à chaleur entraîne une surconsommation et l’usure prématurée de ses composants, le tout pour un confort thermique dégradé. Il est fortement recommandé de faire appel à un professionnel pour déterminer avec précision la puissance de pompe à chaleur adaptée à son logement et pouvoir bénéficier de toutes les aides et garanties disponibles.

Marie-Claire Dodin, 17 octobre 2024

Mes articles

105 articles

ISOLATION-MURS

Comment reconnaître et supprimer un pont thermique ?

Un pont thermique désigne une zone de rupture d’isolant, qui peut apparaître au niveau de la jonction entre 2 parois ou lorsqu’un mur et un plancher se rejoignent, par exemple. Ils sont responsables de 5 à 10 % des déperditions de chaleur dans un logement et peuvent être traités grâce à une bonne isolation des murs. Définition, types, causes et solutions, découvrez tout ce qu’il faut savoir sur les ponts thermiques ! En résumé Un pont thermique correspond à une zone de rupture d’isolant entraînant des pertes de chaleur, des problèmes d’humidité, ainsi qu’une sensation de froid. Il peut être linéique, ponctuel, de plancher bas, géométrique, de toiture ou intégré. Quand les ponts thermiques sont trop nombreux, ils peuvent avoir pour effet de transformer le logement en passoire thermique, c'est-à-dire en habitation particulièrement énergivore (classée F ou G au diagnostic de performance énergétique). Les ponts thermiques les plus fréquents se situent à la jonction entre deux murs, entre un mur et un plancher, entre un mur et une toiture, ou encore au niveau des portes et des fenêtres. Certains ponts thermiques peuvent être identifiés à l’œil nu, tandis que d’autres nécessitent l’intervention d’un professionnel équipé d’une caméra thermique. L’isolation des murs par l’extérieur (ITE) est la solution la plus efficace pour lutter contre les ponts thermiques. L’isolation par l’intérieur, ainsi que l’installation de rupteurs et le changement des fenêtres, permettent également de réduire leur impact.

Marie-Claire Dodin, 7 octobre 2021

THERMODYNAMIQUE

Comment réaliser l’entretien d'un chauffe-eau thermodynamique ?

L’entretien d’un chauffe-eau thermodynamique (CET) n’est pas obligatoire, mais il est recommandé pour optimiser les performances de son appareil et prolonger sa durée de vie. Découvrez comment entretenir vous-même votre installation, à quel moment faire appel à un professionnel et quel est le budget à prévoir ! En résumé L’entretien du chauffe-eau thermodynamique n’est pas obligatoire en vertu du décret du 28 juillet 2020, mais il reste fortement recommandé. Le locataire est chargé de l’entretien courant du chauffe-eau thermodynamique et supporte les frais en cas de réparation liée à un défaut d’entretien ou à une mauvaise manipulation. Le propriétaire est responsable du remplacement du chauffe-eau thermodynamique lorsque celui-ci est devenu hors d’usage, ainsi que des réparations dues à sa vétusté. Le CET doit faire l’objet d’un nettoyage annuel et d’un détartrage tous les 2 ans. Certaines tâches d’entretien peuvent être réalisées directement par le particulier, d’autres nécessitent l’intervention d’un professionnel, idéalement certifié RGE QualiPAC. L’intervention d’un professionnel coûte en moyenne entre 100 et 200 €, mais il est également possible de souscrire à un contrat d’entretien.

Marie-Claire Dodin, 16 avril 2021

THERMODYNAMIQUE

Chauffe-eau thermodynamique avis : Quels avantages ? Quels inconvénients ?

Respectueux de l’environnement, peu énergivore et facile à installer : les avis sur le chauffe-eau thermodynamique (CET) sont globalement positifs, même si certains utilisateurs lui trouvent aussi quelques points faibles. Pour vous aider à y voir plus clair, Hello Watt fait le point sur les avis positifs et négatifs et vous offre un panorama complet des avantages et des inconvénients du CET. En résumé : Les avis sur le chauffe-eau thermodynamique sont majoritairement positifs, les consommateurs et les professionnels mettant notamment en avant les avantages suivants : un appareil écologique ; un système économique ; une utilisation et un entretien faciles ; une longue durée de vie, de 15 à 20 ans en moyenne ; un équipement éligible aux aides financières. Les principaux avis négatifs sur le CET portent sur : son prix ; son manque de flexibilité ; ses contraintes d’installation ; son volume sonore.

Marie-Claire Dodin, 15 avril 2021

ISOLATION-MURS

Optimiser son devis d’isolation extérieure : prix, aides et contenu

Marie-Claire Dodin, 22 mars 2021

ISOLATION-MURS

Isolation des murs intérieurs : quelle épaisseur d'isolant choisir ?

L'épaisseur du matériau servant à isoler ses murs intérieurs a des conséquences sur le prix des travaux de rénovation, leur efficacité thermique, mais aussi sur la surface du logement. Découvrez quelle épaisseur choisir pour l'isolation de vos murs ! Choisir la bonne épaisseur d’isolant pour ses murs intérieurs : ce qu'il faut retenir ! L’épaisseur idéale d’un matériau isolant se situe entre 12 et 18 cm. Elle est étroitement liée à la résistance thermique R de l’isolant et à sa conductivité thermique λ. L’épaisseur de l’isolant est un critère important lorsqu’on souhaite utiliser la technique de l’isolation des murs par l’intérieur, car elle impacte la qualité de l’isolation phonique et thermique, mais aussi la surface du logement. L’épaisseur de l’isolant influe également sur le prix de l'isolation intérieure des murs. Diverses aides financières sont cependant accessibles pour diminuer le coût des travaux d’isolation, mais elles sont plus importantes pour une isolation extérieure, car ce type de chantier de rénovation est plus coûteux. Les matériaux fins ou épais ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients. Fins, ils limitent la perte de surface habitable et épais, ils offrent de meilleures performances thermiques.

Marie-Claire Dodin, 6 juillet 2020

ISOLATION-MURS

Comment choisir et poser un isolant mince sur les murs intérieurs ?

Vous envisagez d’isoler vos murs à l’aide d’un isolant mince ? Composition, matériaux, avantages, précautions d’installation, prix : voici tout ce que vous devez savoir avant de vous lancer ! En résumé : Un isolant mince se compose de fines couches d’isolants compressées entre 2 feuilles thermiques réfléchissantes. Son épaisseur varie de 5 à 30 mm. On parle d’isolant mince, d’isolant multicouches ou d’isolant PMR (Produit Mince Réfléchissant). Les couches internes d’un isolant mince peuvent être composées de matériaux naturels, minéraux ou synthétiques. Les isolants minces doivent être couplés à un autre matériau isolant pour atteindre un niveau de performance satisfaisant. Le prix d’un isolant mince varie de 5 à 20 €/m² hors pose en moyenne. Il peut être réduit grâce à différentes aides financières.

Marie-Claire Dodin, 6 juillet 2020